Résigne-toi, mon cœur ; dors ton sommeil de brute.
(…)
Le Printemps adorable a perdu son odeur !
(…)
Avalanche, veux-tu m'emporter dans ta chute ?
... »
Spleen et Idéal - LXXX. Le Goût du néant, vers 5, 10 et 15
1861, GF Flammarion, 1991-2006, pages 118-119