J'avoue avec sincérité que tous ces reproches peuvent être fondés :
je crois aussi qu'il me serait possible d'y répondre, et même sans
excéder la longueur d'une préface. Mais on doit sentir que,
pour qu'il fût nécessaire de répondre à tout, il faudrait que
l'ouvrage ne pût répondre à rien ; et si j'en avais jugé ainsi, j'aurais
supprimé à la fois la préface et le livre.
... »
Pierre Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, Préface du
rédacteur
GF-Flammarion, 1996, page 76
GF-Flammarion, 1996, page 76
Résonance :