Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
... »
Paul Éluard, « Liberté », 21ème et dernière strophe
Initialement publié dans le recueil clandestin Poésie et vérité 1942
Repris dans Au rendez-vous allemand, Paris, Les Éditions de Minuit, 1945