« ...
Devant cette mystérieuse complication de bienfaits et de souffrances se dresse le Pourquoi ? de l'histoire.
Parce que. Cette réponse de celui qui ne sait rien est aussi la réponse de celui qui sait tout.
... »
Victor Hugo, Quatrevingt-treize, IIIe partie, livre IIIe, I, XI
GF Flammarion, 2002, page 217, lignes 860 à 863
GF Flammarion, 2002, page 217, lignes 860 à 863