Perdican est vrai, car Perdican c'est vous, c'est moi ; c'est un
homme qui fait le mal sans être méchant, qui souffre, qui aime, qui ne
comprend rien au monde, qui doute de la bonté de la vie, et
qui persiste à vivre pour aimer.
... »
Jules Lemaître, Impressions sur le théâtre, première série
Calmann-Levy, 1887
Il évoque ici le personnage de Perdican dans la pièce On ne badine pas avec l'amour, d'Alfred de Musset
propos cités par Romain Lancrey-Javal, dans l'édition de la pièce dans la collection Classiques Hachette, 1993, page 120
Calmann-Levy, 1887
Il évoque ici le personnage de Perdican dans la pièce On ne badine pas avec l'amour, d'Alfred de Musset
propos cités par Romain Lancrey-Javal, dans l'édition de la pièce dans la collection Classiques Hachette, 1993, page 120
Résonance :
« J'ai aimé » (Alfred de Musset, On ne badine pas avec l'amour)