Je n'avais pas de plus grand désir que de voir une tempête sur la mer, moins comme un beau spectacle que comme un moment dévoilé de la vie réelle de la nature ; ou plutôt il n'y avait pour moi de beaux spectacles que ceux que je savais qui n'étaient pas artificiellement combinés pour mon plaisir, mais étaient nécessaires, inchangeables, – les beautés des paysages ou du grand art.
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Troisième partie "Noms de pays : Le Nom"
in A la recherche du temps perdu, tome I
1913, Gallimard, La Pléiade, 1987, page 377
in A la recherche du temps perdu, tome I
1913, Gallimard, La Pléiade, 1987, page 377