Le soleil a norci la flamme des bougies :
Ainsi, toujours vainqueur, ton fantôme est pareil,
Âme resplendissante, à l'immortel soleil !
... »
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal - Spleen et Idéal - XLVI. L'aube spirituelle, vers 12 à 14
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 94
1861, GF Flammarion, 1991-2006, page 94
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