Tu te dis libre ? Ce que je veux connaître c'est ta pensée souveraine ; je ne tiens pas à apprendre quel est le joug que tu as secoué.
... »
Friedrich Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra - Première partie,
paragraphe "Des voies du créateur"
traduction Geneviève Bianquis, GF-Flammarion, 1969-2006, page 102
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